La Marine sur Reverse?

• Nous étions sur le bateau... Remue ménage et compagnie de la part des officiers tant dis que je rechargeai mes flingues en y mettant des balles de neuf millimètre a destruction. A bout portant ou a longue distance, cette balle, tiré sur un être humain, transperçait tout se trouvant sur son passage. Elle avait un aspect arrondi mais avait une légère pointe pour transpercer les matières flexible. Vingt quatre balle par chargeur qui furent enfoncés une a une, tout d'abord je les avais prise avec les deux doigts avant(index & le pouce) pour les enfoncer avec le pouce. Le bruit de métal, cette raisonnance qui m'apaisait que je chérissais, je l'aimai tant... Mes flingues vinrent percuter le bois de mon bureau, tout deux, un a un. J'en repris un pour mettre une main sur la crosse, un doigt sur la gâchette, je le rechargeai appréciant le bruit, contemplant sa splendeur. Je le faisais tourner autour de ma main, un mouvement prouvant ma maitrise de la chose, assez spectaculaire. Je fis les mêmes choses pour ma deuxième arme. Ils étaient chargé j'étais paré au combat. Je fis appel au gringalet que j'avais engagé qui était entrain de trainasser sur le navire. Une fois qu'il était entrain, charcutant une pomme avec un poignard pour l'avaler, pas le couteau mais la pomme, je dépliai un plan sur la table et y enfonçant le couteau sur un côté pour ne pas qu'il s'échappe.

• C'est ici, le sommet de la montagne. Nous allons arriver par le flan est, étant sur East blue. Sur ce genre de canal particulier, l'eau remonte la montagne... ←

→ ... Il n'y a de place que pour un seul navire. Il est très dur de rejoindre le canal de Reverse Mountain alors je vais te laissé faire. Les pirates ne doivent pas nous rendre la tâche plus difficile. Tu commanderas toute les opérations pendant que je me battrai contre l'équipage qui est a nos côtés. •

• Capitaine!!!! Reverse en vue!!!! ←

• La phase explicative du plan était donné au gringalet dont je ne connaissais pas le nom... Il serait chef du navire pendant que j'exécuterai l'équipage de pirate. Un subordonné s'annonça au salut en criant pour dire que Reverse Mountain était en vu. J'attrapai mes deux flingues sur la table pour qu'ils rejoignent les holsters planqué dans ma veste. Pour les incultes, les holsters sont des étuis a pistolet, tel le fourreau d'un sabre. Je me dirigeai dehors en crachant sur le sol de ma cabine de manière vulgaire, m'essuyant les lèvres. J'allai contemplé le paysage avant de passer a un plans très dangereux, sachant que je n'avais pas beaucoup de temps. Oui, ce dernier était compté.

• Capitaine... Je ne me sens pas d'accomplir cette lourde tâche. Et... Je préfère ne pas rejoindre Grand Line. C'est pourquoi, étant sous ordre du Q.G, je vais vous arrêter! ←

→ Minable. •

• Le canon de mon colts vint rejoindre le fond de sa gorge après avec raclé son palais. Exerçant une pression qui le fit s'agenouiller, je le regardai d'un air supérieur plein de dégout. Une ordure de son genre, qui était sous ordre, n'allait pas arrêter mes ambitions. Cet Eiichiro oda, allait périr. Mon doigt venait s'isser sous la détente avec délicatesse, il ne pouvait plus que gémir... Une simple pression, la balle s'en allait dans un tonnerre bruyant, réjouissant considérablement mon ouïe, me stimulant pendant quelques secondes. Alors j'affichai un sourire assez grand puis je chargeai a nouveau mon révolver pour charger une seconde balle. D'un clique je le passai en mode semi-automatique, il se rechargerait donc seul. Alors que ces nerfs toujours actif le faisait se tordre en quatre sur le sol, les coups de feu partirent un a un, dans un tonnerre de plaisir et de réjouisse-ment. Le sol de mon navire était imbibé d'un sang de clochard. Mes joues se remuèrent, ma salive vint rejoindre son misérable visage. Pendant cet assaut son sang put gicler sur mon visage, me donnant un air sadique.

• Les prochains fils de pute qui auront la folie de s'opposer a mes choix, crèveront comme cette putain. ←

• Ma salive, par le côté droit de ma bouche, venait nettoyer de nouveau le sol salis par un sang de clodo'. Tout les marines face a moi me regardaient stupéfait, terrorisé, impressionné. Je me dirigeai vers l'avant du bateau, il s'écartait un a un pour me laissé passer. Je mis mon pied sur l'avant du bateau, les XX gun's dans mes mains regardant le bateau pirate nous devancer pour n'être qu'a quelques mettre de Reverse Mountain. Notre vitesse augmentait, le choc allait détruire nos deux navires.

→ C... Ca... Capitaine! On va s'écraser! •

• Je le sais. ←

→ Mais... Mais alors?!? •

• ON MAINTIENT LA POSITION!!! ←

• Suite a ces paroles agressive j'exerçai une pression sur mon pied, amplifié par la hi hi no mi, le fruit de la chaleur. Je fus propulsé par les cieux, rejoignant de haut leurs navire. Le mode rafale était activé pour chacune de mes armes, une source d'énergie entrait en abondance dans les canons, générant une énorme chaleur sur le terrain. Ou plutôt... Absorbant la chaleur atmosphérique par le biais de mon immense pouvoir.

→ Hi Hi NoOo...

•

• Après avoir prit mon escale depuis les cieux, je pus arriver au dessus de leurs bateau prononçant le début du nom de mon fruit du démon : hi hi no... Le fruit était le fruit de la chaleur, hi hi no mi. La chaleur se condensait dans chacun de mes canons, tant dis que le mode rafale s'activait. Mon doigt venait percuter la gâchette avec violence et le recule me fit m'envoler mais d'énormes rafales d'énergie solaire vinrent s'écraser sur le bateau en deux rafales ou six tirs pour l'irradier, complètement. Il n'en restait plus que des débris flottant, la pression l'avait envoyé sous l'eau, tuant et coulant les pirates a son bord. Je posai pied sur un débris coulant, me propulsant vers mon propre bateau alors que les marines avaient jeté le corps de cet Eiichiro Oda a l'eau. Il semblait avoir prit confiance en se qui concernait notre voyage sur grand line, après avoir vu cette démonstration de puissance pur. Je soufflai sur le canon de mes flingues, encore chaud, dégageant une légère fumée puis je les rangeai. Toute la merde était en enfer a présent. Nous entrions sur le début de reverse avec succès. Je me dirigeai donc vers ma cabine en prenant place sur mon siège tournant, les mains croisées, observant le mur, tout en réfléchissant pendant que nous gravissions cette montagne a moitié aqueuse...

• L'idée qui me vint directement a l'esprit fut d'inventer des balles plus puissante de 9mm... Et surtout, de ma création. J'en vins a penser que si un pirate pouvait contrer ma technique la plus puissante, pouvait stopper ou me renvoyer une de mes balles. Il me fallait d'autres chargeur... Diversifier ma gamme de possibilité. Mes flingues repassaient en mode semi-automatique, je les rechargeai après avoir changé leurs chargeurs. La seule manière de me concentrer était de me stimuler avec ce bruit métalique. Les coups de feu partaient dans mon bureau, explosant : tableau, vase, porte, mur. A la vingt quatrième balle de chaque chargeur, après que le dernier grondement de mes flingues eut sonné, j'eus l'idée suprême... Ma main empoignait un couteau de guerre planté dans la table de mon bureau, je le lançai contre la porte pour que cette dernière s'ouvre. Mon deuxième poing venait percuter le bois de la table pour faire trembler la pièce...

• Que l'on m'apporte du métal, du fer, du gaz, de l'opium, de la poudre noir et de la poudre fumigène. ←

→ C... Ca... Capitaine.•

• Tout de suite, soldat. ←

« Cueilles ta vie avant qu'elle ne soit emporter par le vent »

J'ai passé le grade de Sergent-Chef avec une efficacité disons, déconcertante ? Oui, ce serai le mot le plus appropriée. Ma première mission de manière officielle est de rendre visite à un type qui,semble t-il, pourchasser de vulgaires déchets aux abords de Grand Line, soit. La seule chose qui me faisait le plus chier est d'y aller soit même, quoi de plus affligeant d'aller nous même sur le terrain alors que des déchets un tantinet civilisés peuvent le faire ? Serai-ce une question de sûreté ? Il est vrai que l'on n'est jamais mieux servi que par soit-même mais là je doute.

Je suis actuellement au Q.G de la Marine, il est imposant,certes mais cela ne fait pas tout rassurez-vous. Cette île est cerné être là que ce trouve la « Justice », vous savez cette idéologie idyllique conçu dans le but de promouvoir la paix et la prospérité, c'est qu'un ramassis de conneries dans le sens où ce sont les hommes qui les applique, sinon oui, elles sont bonnes...

Je sors du palais principal où un gradé pour le moins aussi vieux que débile m'avait confié cette broutille sans intérêt, un bateau m'attendait sur le quai. Étant de petite taille et dépourvu de muscles saillants, les regards ne tardèrent pas à fuser vers moi essentiellement les mecs bodybuldés où leur seul raison de vivre est l'auto-satisfaction de soulever des charges plus lourd que la précédente, on voit bien là l'état d'esprit de ces tir-aux-cul sans la moindre conviction, ah si ! Servir la Marine, « Servir », je me marre.
Un ramassis d'idiots étaient sur le pont du bateau, mon bateau à présent. Le capitaine était reconnaissable avec sa veste rouge vif non repassée avec des troues dedans, affreux comme le rafiot d'abord. Il était de loin l'un des premiers navire à avoir sillonnés les mers, une figure de proue tenant plutôt de la parodie que d'un réel motif de peur et autres signification, les voiles virant au jaune plutôt qu'un blanc pur comme mes cheveux. Les craquements du bois présent au sol me firent soulever un sourcil, quel épave !

« Bonjour Sergent-Chef Kira, bienvenue sur le Styx.»

La voix du capitaine adjoint à partir de maintenant était nouée, hésitante. De multiples gouttelettes de sueur parlaient de son front sale. Essayant de sourire tout ce qu'il pouvait pour montrer bonne prestance était vouer à l'échec. Le langage non-verbal est un art intéressant, j'ai lu un livre là-dessus qui parlait de différents types de rictus lors d'une conversation.

Je n'avais pas encore posé les deux pieds sur le bâtiment que j'eus soudainement envie de changer,je ne peux naviguer dans de tel conditions, par pour quelqu'un comme moi. Balayant du regard l'équipage de bras-cassés qui devaient me faire voir l'autre Lucky Luke près de Grand Line, un sentiment proche du massacre se faisait sentir. Regardez-les, ils chiaient tous dans leur froc, j'impose tant que ça ?

« Capitaine vous êtes relevé de vos fonctions, vous serez Capitaine adjoint, je prend la tête des opérations. Nous allons à présent quitter cette épave indigne de me recevoir pour un bâtiment servant généralement au Buster Call. Vous avez Dix minutes pour me l'amener près du bar là-bas où je siroterai un verre de lait. »

Je suis une personne portée vers l'autoritarisme est restant juste, sévère mais juste. Je n'accepte pas l'attente et faire attente. En l'occurrence, ces types sourire aux lèvres en ajustant leur position de vacanciers bercés par les flots en m'attendant eurent une bonne surprises,j'aime pas les déchets, un peu d'exercice à ces mouflets ne leurs feront pas de mal.

- « Ah ouais j'allais oublier, si vous arrivez pas à leur je vous bute. »

Plissant les yeux et élargissant mes lèvres, un air de sociopathe s'empara de moi, la vermine est coriace et surtout présente, il me faut agir avec tact. Je me dirigeais à présent vers le bar du coin, pas loin d'un amarrage où ils devront amener le « Styx 2 », commandant un verre de lait et les regardant leur visage râleurs,tristes ou même abasourdis par mes propos me firent un grand bien, plus que 6 minutes. Les Lentes et rébarbative minutes m'embêtais mais je ne pense pas que le même effet avec lieu chez eux, dépêchons, 1 minutes. Il était enfin là, dans les 5 dernières secondes,quel chance ! Le voyage allait bientôt commencer. Montant à bord sans un mot à part celui d'y arriver dans les plus brefs délai, je m'en retournais à ma cabine principale située tout en haut, la plus spacieuses et la plus luxueuse, j'avais des travaux en cours. Je m'assis dans un fauteuil en cuir, dossier de l'ami en question.



Citation :

« Xanxus Shunsui, Capitaine des Night Stunter, souvent représenté comme un homme cruel et sans pitié pour les pirates, ses armes de prédilection sont un duo de gun's : Les XX. Le Capitaine pirate possède le Hi Hi no mi, le fruit de la chaleur. »


« Tiens donc, un duo de gun's comme c'est intéressant, pareil pour le fruit. Il semblerait qu'à la Marine il y aurait pas que des parasites... »

La nuit approcha à grand pas. Il restait deux jours avant d'arriver sur le lieux du Capitaine Shunsui, deux jours avant de rencontrer une personne qui, j'espère, sortira de l'ordinaire. Le rythmes des vagues affluèrent, le temps changeant peu il y avait rien de bien intéressant à faire en dehors de mes travaux de grande importance qui occupaient la moitié de mon temps, l'autre moitié est la culture de choses utiles comme la biologie, la psychologie et la littérature. A l'aube de l'heure H, un soldat venait toquer à ma porte, je lui est bien sûr dit d'entrer :

« Cap...Capitaine ! Nous sommes arrivés ! »
« A combien de mille sommes-nous de la cible ? »
« Je...Je sais pas, cela fait 3 500 mètres donc...
« Pff...1.8898488120950323 mille pauvre idiot. Stopper les voiles, mouiller maintenant.
«T...Tou...Tout de suite Capitaine !! »

Enfin, nous étions arrivés. Ajustant un ensemble de fringues blanc mais virant au gris, comme un pyjama. C'était une tenue comme une autre suivit d'une cape des sous-officiers sans kanji derrière, on ne me fais pas porter n'importe quoi au dos.

J'arrivais sur le pont, la lumière du soleil était très forte, j'ai passé quand même deux jours dans ma cabine de la taille d'un appartement un peu chère mais cela valait le coup, je ne voulais pas ces tronches de cake devant moi, je me mélange pas avec la vermine. Une très luxueuse chaloupe était solidement amarré devant moi, une approche furtive était nécessaire, je décida donc que deux soldats m'accompagnèrent, ignorant le reste de l'équipage. Mes seules directives étaient qu'au retour des deux péquenots, ils repartirent au Q.G et attestèrent que j'avais réussi à les retrouver. Maintenant on y va.

Tel un génie sortant de sa lampe magique, j'arrivais sur la rambarde du bateau, accroupis et arborant un large sourire niais :

« Salut, la forme ? Sortez pas vous armes je suis de la maison. »

• Nous faisons notre entré sur grand line, la secousse était bel et bien présente, le bateau bougeait dans tout les sens, se cognant contre les parois de cette montagne. J'avais une putain d'idée en tête... Mes flingues ne vaudraient plus rien sur grand line. L'opium et la poudre noir apporté a mon bureau furent réunis dans une dynamite... Dynamite que je pourrai faire exploser par le biais d'un amas de chaleur générer du bout de mes doigts. Je devais en choisir un pour qu'il garde mes flingues, quelqu'un qui en serait digne. Un marine sous mes ordres venait en courant dans mon bureau alors que j'avais ordonné que l'on me laisse tranquille, m'annonçant qu'un gamin avait fait intrusion sur le bateau, prétendant être de la maison. J'attrapai ce minable par le col, le posant contre le mur, puis le relâchant. Je lui lançai la dynamite que j'avais confectionné ou tout du moins... Son prototype. J'ordonnai qu'il m'en fournisse tout un stock d'encore plus puissante, après analyse. C'est d'un pas décidé et vif que je me rendais a l'extérieur, passant au travers de plusieurs marine stupéfait, je pus voir ce misérable gamin accroupi sur la rambarde du bateau. Nous étions a mi-monté de reverse mountain a présent... C'est d'un levé de main que je générai un véritable champs de chaleur, baissant considérablement la rapidité de mes opposés et leurs niveau d'énergie. Je me rendais rapidement devant ce gamin et le plaquait contre le mat. Ces mouvements étaient au moins réduits par deux a cause de mon champs de chaleur. Une fois qu'il était sous l'étreinte de ma poigne, je relâchai toutes cette pression mais laissé une vague de froid revenir. Le bateau fut brutalement secoué, nous redescendions reverse mountain. La secousse me fit lâcher le gamin puis reculer...

• Tsss... J't'engage sale merdeux, t'as du cran. ←

• Finalement je pouvais apercevoir grand line, tout du moins le début de cette énorme mer réservant plein de surprise. Les pirates allaient trépasser ou je passerai. J'allai les écraser un a un, une fois mes nouvelles armes au point, une fois mon nouveau look au point et une fois mon nouveau style de combat mis un point. Alors que je me dressai sur l'avant du bateau, la fierté aux tripes, je languissais d'arriver sur la première ile pour que les aventures du futur amiral shunsui commencent.