« Que la lumière soit et la lumière fut » [solo] (FDD)

Nous étions sur Grand Line, le temps était calamiteux, sans cesse des orages ou autres cyclones. Le bateau était submergé par les flots et nous avions du mal à garder le cap. Notre mission était importante, nous devions récupérer un fruit du démon pour le sein de la Marine et surtout faire en sorte qu’il ne tombe pas dans les mains des pirates. Il avait nommé cela l’opération « Aurore ». Une escouade avait été mise sur pied, elle était composée de quatre individus : John (éclaireur), Bill (médecin), Eric (Leadeur) et Moi, Cloud, (stratège). Une belle bande de bras cassé envoyer au front contre un ennemi inconnu pour une simple boite en carton qui contenait une banane ou un truc du style. C’est vrai que d’un autre côté si l’opération était une réussite, ce serait tout bénéfique pour ma part, une belle promotion pourrait m’attendre. Enfin c’est ce que je m’étais dit bien avant qu’on ‘est mis pied à terre. Nous avions comme point d’attaque une simple île, à la végétation hors du commun. Elle n’était pas très vaste et n’apparaissait donc pas sur les cartes. Le Log Pose avait même du mal à nous indiquez son itinéraire. Quel pied !!! D’être perdu au beau milieu de Grand Line, on ne peut espérer mieux. Car vous avez seulement trois possibilités devant vous dans de pareilles situations. Se faire dévorer par un poisson géant, mourir de faim ou encore mourir noyer par un ouragan. Engagez vous ! Vous vivrez une belle aventure ! Qu’ils avaient dit, mon cul oui !!! C’était bien là de la propagande à deux Berry. Notre petit rafiot commençait à prendre l’eau, quelle idée ingénieuse de nos supérieurs de nous laisser à deux lieux de l’île pour ne pas nous faire repérer, alors que l’heure d’attaque était fixée au lendemain. Ils n’avaient donc pas pensé que l’ennemi ne serait pas encore présent lors de notre débarquement. Et après on dit que nous Marins sommes des incompétents, c’est l’hôpital qui se fout de la charité. Après de longues heures passées à ramasser avec des sots l’eau qui entrait dans la barque, nous pouvions enfin voir notre objectif. Les gars étaient exténuer et c’était la même chose pour ma part. Nous avions passé la nuit à ramer pour pouvoir nous rapprocher du rivage, le plus rapidement possible tout en évitant ses foutus poissons. Même que l’espace de quelques secondes j’avais bien crus que l’un d’eux allait nous manger. Nous étions partit depuis plus de trois heures et n’avions pas encore parcourus la moitié du chemin. Quand soudain un énorme spécimen, sortit de nos pires cauchemars, surgit des profondeurs des entrailles de Grand Line pour ouvrir sa gueule en plein dans notre trajectoire. Nous étions faits comme des rats, le courant nous poussait vers une mort imminente. Les gars avaient déjà pensés à sauter à l’eau, mais à quoi bon ! On n’aurait fait même dix mètres de plus qu’on aurait déjà fini dans le ventre des requins blancs. Puis enfin un miracle nous sourit, notre heure n’était pas encore arrivé. Un énorme carnivore sortit juste à côté de notre bourreau pour l’engloutir en plusieurs bouchées. Nous étions sauf, mais à se moment nous avons pris les rames et même un navire avec le vent favorable n’aurait pu nous rattraper. Notre peur et notre envie de survivre nous poussa à dépasser nos propres limites. C’est donc exténuer que nous arrivons à terre. Le reste du voyage se passa sans aucun souci. Le débarquement fut très aisé avec une simple barque, puis John partit directement en éclairage. « Personne à des kilomètres » qu’il avait dit ! C’était parfait, enfin nous pouvions prendre une petite heure de repos. Les autres dormaient, alors que moi je m’étais en place notre plan d’attaque. J’avais choisis l’embuscade, ce qui était le plus raisonné sachant que nous serions en sous effectif et que l’adversaire serait plus nombreux. Après une heure de recherche, j’ai pus établir le point d’attaque idéale. C’était un petit sentier qui coupait l’île en deux, s’était donc un axe de passage central, l’ennemi devrait surement l’emprunter. Il ne faisait pas encore jour quand j’eus fini les plans. J’ai donc pus prendre un peu de repos avant de commencer la mission.

Le jour J était venu, le soleil venait de pointer le bout de son nez. L’opération Aurore pouvait commencer. Les gars étaient surexcités à l’idée de pouvoir se battre. Oui j’étais avec de vrai fou de la baston, vraiment pas de bol mais je les aimais bien ses casse coup. Deux heures de marches voilà ce qui nous attendait avant de pouvoir arriver au point de rendez vous ou plutôt au point estimé être le plus favorable à une attaque par surprise. Nous partîmes alors en route pour l’objectif. John partit devant, un Den-Den Mushi sur lui pour nous alerter en cas de présence ennemi et surtout pour qu’on vienne l’aider si jamais cela se produisait. Eric prenait la tête de l’escouade car il en était le Leadeur, Bill lui s’amusait avec ses scalpels et prenait divers clichés de la faune et flore nous entourant. C’est vrai que cette île était magnifique. Elles composées de gigantesque arbres de n’importe quelle espèce, mesurant dans les dix à vingt mètres. De belles fleurs multicolores étaient parsemées sur toute l’île lui donnant un aspect paradisiaque. Mais il ne fallait pas se fier aux apparences, car quand on regardait de plus prêt, on pouvait aussi observer les nombreuses bêtes venimeuses qui avaient choisis cet endroit comme nid ou comme terrain de chasse. Je n’aimais guère cet endroit au faux semblant et toutes les cinq minutes je me retournais par peur de me voir agresser par un Boa géant. Puis soudain un cri vint me sortir de mes pensées. John venait de hurler à la radio, l’escouade se mit directement en action et en l’espace de quelques secondes était déjà sur place. John n’avait rien, il venait juste de tomber dans un trou et avait crié ne comprenant pas ce qui était en train de lui arriver. Il fut directement blâmer par toute l’équipe, à notre retour y’en a qui allait bien se marrer. Puis nous arrivâmes sur place, le sentier était là comme prévus il ne manquait plus qu’à se positionner. L’escouade fut scinder en deux, et chacun des deux binômes prit un côté de la route. C’est à cet instant que la célèbre phrase « divisé pour mieux régner » prenait un peu de sens dans ma tête. Nous étions en place, arme à la main, il ne manquait plus que notre proie. Je m’étais muni de mon habituelle épée et d’un pistolet à poudre déjà prêt pour être rechargé. Soudain des bruits de pas se firent entendre, John partit un peu en avant et revint quelques minutes plus tard.

Dix ennemis sont identifier les gars ! Dit-il.

Ok on y va et pas de connerie. Rétorqua Eric.

La mission était lancée : intercepter, éliminer et ramener voici les trois termes à respecter. Je sortis de ma position pour foncer directement sur le flanc gauche de l’ennemi. Mon premier coup de pistolet toucha directement le porteur du coffre en pleine tête. Le sang alla se coller contre le visage de celui qui se trouvait derrière lui. Prit de peur le pirate ne bougea plus et je n’eus aucun mal à lui enfoncer mon sabre à travers le ventre. John, Eric et Bill étaient eux aussi en plein combat et n’avaient aucunes difficultés à terrasser leurs ennemis. D’un mouvement souple du poignet, je venais d’ôter la garde de ma future victime. L’homme désarmé ne put que fermer les yeux alors que la lame de mon épée vint lui ôter la tête de son corps. Celle-ci roula au sol quelques secondes, avant qu’un pirate ne marche dessus et tombe. Je vins directement l’achever d’une attaque en piquer, mais mon arme resta coincer dans ce qui semblait être un pavé. Rien à faire j’étais pris au dépourvus, il me fallait vite réagir des ennemis arrivaient dans ma direction. Je pris donc l’initiative de recharger mon pistolet et d’abattre celui qui se trouvait le plus proche de moi. La balle toucha sa cible qui s’effondre au sol gisant dans son propre sang. Puis ce fut compliquer, coup sur coup je devais tous les éviter par risque de perdre la vie dans une petite escarmouche. J’étais agile, mais pas un surhomme, une lame vint me toucher au biceps gauche et un jet de sang et une douleur vint en émergea directement. Je fis alors une roulade en avant pour ramasser l’arme d’un de ses brigands que j’avais auparavant tué. Sa lame était presque rouiller, de trop violent croisement de fer viendrait à la casser. Puis à se moment un souvenir noir vint ma quérir, celui de ma première victime. Je chassai directement cette pensée sombre et exécuta un bas de côté pour esquiver un autre coup porter à mon atteinte. Puis pour ne pas me fatiguer plus je lança l’arme rouillé vers mon agresseur pour le clouer sur place. L’attaque porta ses fruits et j’ai pus aller récupérer mon arme à toute hâte. Il ne restait plus que deux petits gars. John prit alors son fusil et les tua net sans aucune pitié. On pouvait se permettre de garder des personnes en vie, sous risque de voir venir des renforts et que la mission ne devienne un échec total. Je ramassa le coffre et partit en direction du reste de l’escouade. Nous rassemblions tranquillement sur le bas côté du sentier, tout en faisant l’inventaire de nos paquetages.

Nous avions récupérez le coffre comme convenus et étions prêt à partir pour le point d’extraction. Bill se leva alors tranquillement sur le bas côté du sentier, quand tout d’un coup il tomba comme une mouche. Puis quelques secondes après le bruit sourd de son corps sans vie qui tombe au sol, on entendit une détonation.

Sniper à couvert !!! Cria Eric.

Le reste de l’escouade plongea derrière la roche la plus proche, mais avant que nous soyons à couvert un autre coup retentit et John n’était plus des nôtres. J’avais le ventre nouer, perdre deux amis d’un coup sans comprendre pourquoi no comment me donnait envie de foncer dans le tas et tirer sur tout ce qui bouge. Mais je ne le fis pas, car cela aurait servit à rien du tout à par à perdre un autre homme. Le Sniper continuait à tirer tout en espérant traverser la roche, heureusement pour nous cela demeurait de l’impossible.

Prend le coffre Cloud, la mission doit être une réussite qu’importe les pertes encourut. Me dis Eric.

Mais ? Pourquoi moi ! Ai-je dit.

Un capitaine se doit de couler avec son navire si celui-ci est endommagé. Maintenant obéit car c’est ordre.

Je pris alors les jambes à mon cou, sans même me retourner. Des larmes perlèrent sur mes joues, je venais de perdre mes meilleurs compagnons et c’est sur que je ne les reverrai plus jamais. Puis alors que je me trouvais à bonne distance, je décidai tout de même de voir ce qu’il en était d’Eric. Je vis alors un homme pleurant la mort de ses frères de sangs, foncer droit devant dans une trentaine d’ennemis les armes à la main. Il brassait plus d’air qu’autre chose et ne fit que peu de victime. Puis un bruit de détonation retentit à nouveau et Eric tomba à terre. Une seule chose, voir un détail, me marqua : Eric est mort le sourire aux lèvres. Je pris donc à nouveau les jambes à mon cou, courant le plus rapidement possible, mais que pouvais-je bien faire seul face à une trentaine d’ennemi. Tout simplement rien du tout, si jamais je venais à aller au point d’extraction la mission serait un échec car l’ennemi nous aurait repérer. Oui nous nous étions fait passer pour de simples mercenaires et non pour des agents d’élites de la Marine. J’ai donc courut le plus loin et le plus longtemps que mon physique me le permettait, mais après une nuit courte en sommeil et un combat je ne pouvais espérez dépasser les milles mètres. Je pris donc position derrière une roche et mis le coffre sur mes genoux recroquevillés.

*Que faire je suis seul face à tant d’adversaire ! Pense à la mission … l’échec n’est pas tolérable. Mais je ne veux pas pourtant mourir. Il ne faut pas que le fruit tombe entre les mains des pirates. Il ne faut pas que le fruit tombe entre les mains des pirates. Il ne faut pas …*

Des bruits de pas commençaient à se faire entendre. J’étais toujours derrière mon caillou pensant à une solution et une seule me vint. Il fallait que je mange le fruit afin qu’il ne tombe pas entre les mains des pirates. Avec un peu de chance celui-ci pourrait me donner la capacité de voler et avec celle-ci je partirai le plus loin possible. J’ouvris alors le coffre qui n’était que fermer par commodité, puis je pris le fruit en main. Il ressemblait à un assemblage entre un ananas et un kiwi. Il avait une drôle de tronche, mais je n’avais pas le temps de penser à se forme. J’enlevai la peau et croqua à pleine bouger dedans. Le fruit avait un goût amère et acide, mais il fallait le manger jusqu’à qu’il ne reste plus rien. Une fois fini je sentis comme une force grandir en moi. Mon être rayonnait à l’intérieur de moi, j’arborais une nouvelle puissance qui mettait inconnue. Mais quel pouvoir ai-je bien pu acquérir ? Voilà la seule question qui me traversa l’esprit à cet instant. Le problème était que si s’était un type Zoan, je serais foutu si je me montre et que si c’est un Paramécia qui n’est pas axer sur la défense se sera pareil. Il fallait que je la joue en finesse et surtout que je ne force pas la chance. Je sortis alors de ma cachette, sachant pertinemment que j’étais de toute façon repérer. Je pris soit de laisser le coffre en arrière pour ne pas m’encombrer d’avantage. Alors que je m’éloignais une voix m’interpella.

Stop ! Ou nous tirons sale chien de mercenaire.

Je me tourna pour voir qu’une trentaine d’ennemi m’avait en jouc et que j’étais comment dire, mort. Je levais les mains afin de montrer que je me rendais.

Où est le coffre ?

Nulle part !!!

Ne joue pas au plus malin avec moi ! Surtout que c’est moi qui est les armes.

Un pirate arriva avec le coffre en main.

On a le coffre mais il est vide boss.

Nanda !!!! Où est le fruit témé.

Tu n’as qu’à le trouver toi-même baka.

J’utilisais la stratégie du bluff et de l’arrogance pour montrer que même devant tant d’homme je pouvais encore gagner, mais sa n’a pas eu l’effet que j’attendais.

Tuer moi ce déchet !!!

Tout les pirates firent feu et je crois bien que c’est à se moment que je fermis les yeux. Le bruit des détonations fut saccader et je savais bien que cette fois-ci mon heure avait sonnée. Pourtant les balles ricochèrent et je ne sentis aucune douleur m’envahir. J’ouvris alors à nouveau les yeux pour voir la tête horrifier de la plupart des pirates se trouvant devant moi.

Bas quoi bande d’idiot, vous ne savez même pas viser ! Dis-je le sourire aux lèvres.

Puis la compagnie devant moi sortit les griffes (épée, katana,…) et chargea. C’est à se moment précis que je décidai d’attaquer également. Je dégainai mon sabre et fonça dans le tas donnant des coups dans tous les sens. Personnes ne semblait pouvoir me toucher et j’avais l’impression de bouger extrêment rapides. Certains coups de pistolets partaient de temps en temps, mais à chaque fois s’était un pirate qui tombait à côté de moi et non mon cadavre. J’avais du sang sur tout mon corps et la troupe de pirate commençait tout doucement à rapetisser. Puis l’un d’eux vint sur mon flanc et passa sa lame à travers mon corps. C’est à cet instant que je compris de quoi il s’agissait. Je venais de manger un logia, surement celui du soleil car mon corps arborait une couleur jaune. J’avais le sourire aux lèvres, j’étais devenus invincible face à leurs attaques et je pouvais enfin venger la mort de mes camarades. Puis la bataille continue et à un certain moment je voulus donner un coup de pied en avant. Celui-ci se transforma en rayon laser, pulvérisant tous les êtres devant moi et sur une longue trajectoire. Je fus prit d’un énorme fou rire à cet instant, non pas par le carnage mais par mon étonnement, ma joie et ma stupidité. La bataille continua et j’en sortis évidement vainqueur. Je partis donc sur l’ancien point chaud, là où avait eu lieu notre premier affrontement. Je resta longuement au dessus des corps de mes camarades pleurant leur mort, avant de les mettre dans un drap pour pouvoir leurs offrirent des funérailles de héros. Avec mon don je n’eus aucun mal à ma déplacer à la vitesse de la lumière du point d’embuscade au point d’extraction. Leur corps restait tout de même lourd, mais j’étais persuader que si jamais l’ordre des choses avait été inversé ils auraient fait pareil pour moi. C’est ainsi que sur quatre grand marins seul un seul revint sur ses deux jambes. Le haut commandement me félicita et approuva mon acquisition du fruit du démon. Mais une grande tristesse me restait tout de même au travers de la gorge.

Terminé.

J'te valide le pika pika ^^
Bon rp

+70 xp