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 Marco le phénix ou "T'aurais pas vu mon oreiller ?"

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« El Muerte »

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Marco le phénix ou "T'aurais pas vu mon oreiller ?" Empty
MessageSujet: Marco le phénix ou "T'aurais pas vu mon oreiller ?"   Marco le phénix ou "T'aurais pas vu mon oreiller ?" I_icon10Sam 31 Juil - 3:09

Prénom : Cyril
Age: 19
Loisirs: manga, dessin et autres formes d'arts
Comment avez-vous connue One Piece Rainbow : Cherchant à exprimer sa passion de One piece sous une forme d'art différente ===> RP

Mon personnage :

Nom : inconnu

Prénom: Marco

Surnom: Marco le phénix

Age: Entre 20 et 30 ans selon moi, disons 27 ans.

Sexe : Masculin

Race: Humain

Rang/Grade: Commandant de la premiére flotte du Pére

Métier :

Armes/ Fruit du démon ou Aptitudes: Zoan ==> fruit du phénix

Rêves ou But : Rester avec pére pour toujours

Equipage : Barbe Blanche

Code du réglement:

Description Psychologique :

Marco est un personnage qui paraît très décontracté dans tout ce qu'il fait : on note ce comportement lorsqu'il s'adresse à Shanks le Roux sur le bateau de Barbe Blanche et lorsqu'il s'adresse à Borsalino lors de la bataille au QG de la marine. Ce comportement lui vient sûrement du fait que son fruit du démon le rend pratiquement invincible. C'est une personne attaché sur le plan émotif à Barbe Blanche, qu'il considère comme son père, mais également au reste de l'équipage. De ce fait, il possède un tatouage représentant l'emblème de son père sur le torse (qui n'est pas à confondre avec celui d'Ace qui est différent). Cet amour envers l'équipage lui vaut d'aller à l'affrontement sans une once de doute ou de peur, même lorsqu'il s'agit d'un amiral de la marine. A première vue, il passe pour une personne flegmatique, ce qui n'est pas le cas. C'est une personne posé et réfléchi, de telle sorte qu'il scrute le champ de bataille dans son ensemble, mais lorsque Barbe Blanche se retrouve en danger, il ne se contrôle plus et part l'aider sans délai.

Description Physique :

Marco ne se démarque pas des autres par son physique imposant comme par exemple Joz ou encore même Barbe Blanche, ni encore par un physique atypique comme Baggy ou Foxy. Il a les cheveux blonds, le teint bronzé et des poches sous les yeux qui lui donnent un air las et endormis. Étant donné sa taille, son physique rappelant d’Ace au niveau de la morphologie et le fait qu’il ait mangé le fruit du démon du phénix, Marco doit pouvoir se déplacer très rapidement.


Histoire :

L’histoire de Marco ne fait pas partie de ces gentilles histoires que l’on racontent autour d’un feu aux enfants pour qu’ils dorment mieux, elle ne fait pas non plus partie de celles que l’on content pour faire peur aux enfants car ce serait alors trop cruel. À ce jour, seul une personne connaît l’histoire de Marco et cet homme n’est autre qu’Edward Newgate, le roi des océans, plus connu sous le nom de Barbe Blanche.

Marco est un enfant qui naquît prématurément, de ce fait, il ne quittait pas souvent son lit des suites de ses nombreuses maladies qui se succédaient les unes après les autres.
Sa mère, Rosa, n’était qu’une simple paysanne et se contentait de récoltait le fruit de son labeur pour le vendre sur les différents marchés, mais malheureusement, cela ne lui permettait pas d’avoir une vie conséquente, car, entre les soins nécessaires à la survie de son fils et les différents achats fait pour subvenir à leurs besoins premiers, il ne lui restait pas de quoi vivre décemment.
Son père, il ne l’avait jamais connu, mais lorsqu’il demandait à sa mère pourquoi il n’était jamais à la maison, sa mère se contentait de lui répondre, un sourire aux lèvres : « Il ne faut pas le blâmer, il vit sa vie ailleurs en ce moment, mais je suis sûr qu’il pense très fort à nous. »


LA NAISSANCE :



Mais ce n’est pas tout ce qu’il y a à savoir sur le père de Marco.
Il était un de ces capitaines de la marine corrompues qui n’ont aucune pitié envers les citoyens et qui n’appliquent aucune justice en s’adonnant parfois aux pillages, aux meurtres et aux viols pour le mettre sur le compte des pirates par la suite. C’est d’ailleurs ce que lui et son équipage avaient fait subir au village de la mère de Marco. Il s’était d’ailleurs réservé cette dernière pour satisfaire ses pulsions animales.
Puis, au bout d’un mois qui parût une éternité aux yeux de Rosa, cet immonde bâtard s’en alla, une fois qu’il fût sûr de l’avoir mise enceinte, sans un seul regard en arrière, cependant, il leur laissa tout de même un présent empoisonné : un coffret dont le contenu était un mystère. Il donna alors une moitié de clé a rosa en lui donnant pour ordres de ne jamais chercher à découvrir ce qu’il y avait dans le coffret et que si, par malheur elle parvenait à l’ouvrir, il le saurait, reviendrait et serait bien moins « clément » que pendant ce séjour. De même, il lui commanda de ne pas attenter à ses jours, pour ne pas nuire à la santé de sa descendance, dans la mesure ou si cela devait se produire, ce serait le village entier de Rosa qui périrait d’une mort lente et douloureuse. À la suite de ces évènements, elle enferma le coffret dans un grand coffre qu’elle mit à son tour dans la penderie du premier étage, puis elle mit sa moitié de clé à l‘intérieur de sa commode pour plus de sûreté.
Cette femme que le destin avait brisé pleura toutes les larmes de son corps et maudit à plusieurs reprises le ciel d’avoir mis en son sein le rejeton de ce démon.
Elle chercha alors à accélérer le processus de grossesse par tous les moyens de telle sorte que ce monstre qu’elle avait en elle sorte le plus vite possible de son corps.
C’est alors qu’au bout de sept mois, elle accoucha d’un garçon, pris de dégoût de ce qu’elle venait de faire naître, elle ne jeta pas un regard à cette engeance de pourriture. L’homme-médecin emmena alors l’enfant dans sa maison pour lui prodiguait les soins dont il avait besoin suite à sa naissance prématuré, tandis que sa femme, médecin elle aussi, restait chez Rosa pour lui prescrire également des soins suite à cette accouchement qui l’avait vidé de toutes ses forces et d’une bonne partie de son sang.
L’enfant et la mère s’en sortirent fort heureusement, mais cette dernière refusait toujours de voir cette enfant de peur de se souvenir du mois passé en compagnie de cette ordure qui lui avait mis ce gosse dans les entrailles et de vouloir le tuer, plongeant ainsi son village dans la destruction.
Les médecins, comprenant la douleur de la mère à élever ce bébé mais, faisant face à l’âge et ne pouvant pas s’occuper d’un enfant, obligèrent la mère à venir voir son enfant ne serait-ce que pour le nommer.
À contrecœur, elle consentit à sortir de sa maison pour aller voir cette chose abject, lui donner un nom et ne plus jamais le revoir.
Elle entra dans la vétuste demeure, s’avança jusqu’au couffin où reposait l’enfant et lorsqu’elle se pencha dessus pour voir le bébé, se mit à pleurer à chaudes larmes en voyant le visage endormi d’un enfant rayonnant de beauté et de pureté. Elle sortit l’enfant du couffin pour le serrer dans ses bras et, tout en se lamentant de pas avoir pensé à la pureté d’un tel être, lui donna le nom de Marco en hommage à son arrière-grand-père qui avait sorti le village de l’époque la plus noire que les habitants aient jamais connu et pour le faire renaître sous un nouveau jour en lui assurant un avenir radieux.

C’était ce qu’évoquait Marco à sa mère, l’espoir d’un avenir radieux.


L’ENFANCE :


Marco passa la majeure partie de sa vie d’enfant à rester au lit en raison des fortes maladies qui l’assiégeaient. Lorsque Rosa n’était pas dans son champ à cultiver la terre pour vivre, elle passait tout son temps avec son fils pour prendre soin de lui car c‘était un garçon faible et extrêmement maigre. Le couple de médecin, malgré la vieillesse qui les rattrapait aidait comme il pouvait la pauvre mère en le soignant et en lui enseignant ce qu’il aurait dû apprendre en allant à l’école.
Lors des rares jours où la maladie ne guettait pas Marco, les médecins ne venaient pas chez Rosa pour lui laisser un moment de tranquillité avec son fils. Pendant ces rares jours, elle ne cultivait pas et passer tout son temps à jouer avec son fils pour le simple fait de le voir heureux. Ils jouaient au jeu préféré de Marco : cache-cache. Il était très doué pour se cacher dans les moindres petits recoins de la maison de telle sorte que sa mère abandonnait bien souvent la partie, pour la plus grande joie du bambin.
Mais un jour où Marco allait bien et qu’il faisait une partie de cache-cache, Marco trouva la cachette parfaite et choisi de s’enfermer dans la penderie du premier étage derrière le grand coffre. Il avait vu que sa mère évitait cet endroit comme la peste, ce fût donc la cachette idéale, il était sûr de gagner avec ça. Comme il l’avait prévu, il gagnât facilement cette partie, sa mère ayant abandonné après vingt minutes de recherches, et appela sa mère de l’endroit où il se tenait, un sourire aux lèvres et très fier d’avoir gagné. Rosa monta les escaliers haletante après cette recherche effréné avec également un sourire sur les lèvres. Son sourire disparut de son visage au moment où elle vît son fils se tenant derrière le grand coffre renfermant les cauchemars de son passé.
Quelques temps après avoir repris Marco au couple de médecin, elle se promit de ne pas entacher la vie de son enfant avec les atrocités perpétrés que son père. Mais lorsqu’elle revît ce coffre maudit, tous les vestiges de son passé lui ressurgirent à la figure. Des images se succédèrent alors dans sa tête passant de la vision de certaines maisons en flammes à son viol par le capitaine des marines et enfin à sa grossesse douloureuse sur le plan émotif. La colère la gagna et elle ordonna à Marco en criant de regagner sa chambre et de ne plus en sortir. Mais il n’écouta pas ses avertissements et suivi sa mère jusqu’à sa chambre pour la regarder par l’entrebâillement de la porte et la voir sortir une sorte de clef de la commode et la rangeait en soupirant.

Marco ne comprenait pas ce qui venait de se passer, il savait seulement que c’était la première fois que sa mère avait élevé la voix contre lui et l’avait puni suite à une victoire de cache-cache, il se promît alors de ne plus jamais se cacher dans cette penderie.


L’ADOLESCENCE :



Dès l’âge de douze ans, Marco devenait de moins en moins malade et cela lui permit de se dégourdir les jambes à l’extérieur, ce qu’il n’avait jamais eu l’occasion de faire jusqu’à présent. Sa mère l’accompagnait toujours où il décidait d’aller et les médecins passaient toujours pour lui faire profiter de leurs enseignements. Il ne sortait pas très loin de chez lui mais, même ce « pas très loin » était pour lui un sentiment de liberté comme il n’en avait jamais ressenti.
À treize ans, Marco avait la possibilité d’aller seul là où bon lui semblait dans le village. Tout le monde connaissait la tragédie qui avait frappé la mère de ce pauvre enfant mais, par respect pour Rosa, personne ne lui apprît quoi que ce soit à propos de son père, de fait, tout le monde souriait à cette enfant qui avait redonné vie à Rosa et lui donnait un petit quelque chose comme des pommes ou encore du jus d’orange par pitié pour lui. Marco, qui était un enfant poli mais, un enfant quand même, acceptait sans rechigner ce que les villageois lui donnait en les gratifiant de son plus beau sourire et d’un « merci » qui suffisait à leur redonner le sourire. Si un enfant comme lui pouvait sourire de cette façon, c’était un bonheur quils se devaient de partager se disaient les villageois. Il passait souvent voir le couple de vieux médecins qui lui avait inculqué ses connaissances et leur empruntait des livres divers et variés pour assouvir sa soif d’apprendre.
À l’âge de quatorze ans, il se rendît compte qu’il ne pouvait pas faire partie d’un groupe d’enfant du même âge car, il ne pouvait pas accomplir les actions que la plupart entreprenaient, tels que courir sur de longue distance ou encore grimper dans les arbres, à cause de son corps qui n’avait exercé pratiquement aucune activité physique pendant dix ans. Comme un malheur n’arrive pas sans un autre, ce fût l’année où le couple de vieux médecins décéda. Il se renferma sur lui-même. Le fait de ne pas connaître son père, de ne pas avoir d’amis avec qui jouer, d’avoir vu le couple s’occupant de lui depuis qu’il était tout petit mourir et de ne voir sa mère que de rare fois à cause de son travail lui pesait lourdement sur le dos. Il ne descendait plus dans le village pour rendre visite aux villageois.

C’est à quinze ans que la vie de Marco bascula.
Les médecins avaient légué leur maigre fortune à Rosa, car, à défaut d’avoir eu un enfant biologique, ils avaient élevé le petit Marco comme leur enfant. Malheureusement, l’état de santé de Rosa s’amenuisait de jour en jour à cause de son travail forcé dans le champ pour pouvoir vivre. L’argent héritée des médecins avait permis de payer des médicaments pour une durée de deux ans pour Rosa, mais cela n’avait servi qu’à cela.
Les rôles c’étaient inversés, la mère prenait la place du fils, malade et dans son lit et le fils, prenait la place de la mère, veillant à ce qu’il ne lui arrive rien. Il demanda alors à sa mère, pourquoi son père ne venait pas pour lui apporter son soutien dans cette épreuve, mais elle lui répondait qu’il ne fallait pas le blâmer et que, là où il était, il devait penser à eux.
Maudissant son géniteur qui brillait par son absence, l’adolescent décida d’outrepasser sa réclusion du monde et entreprit de continuer ce que sa mère faisait, l’agriculture et la vente du fruit de son travail. Il n’était pas très doué étant donné le peu de pratique qu’il avait, il ne ramenait que très peu d’argent, trop peu pour subvenir à leurs besoins à tous les deux. Il se privait la plupart du temps en prétextant à sa mère qu’il avait mangé avant elle. Il nourrissait une rancœur envers son père et la seule chose faisait qu’il ne le haïssait pas au point de le renier était le fait que sa mère disait toujours du bien de lui.

C’est alors que, deux ans plus tard, tandis que l’état de santé de sa mère était au plus bas, il se souvint d’une partie de cache-cache qu’il avait faite avec sa mère neuf ans plus tôt. Ne connaissant toujours pas les raisons de la colère de sa mère, Marco pensa alors que, dans le grand coffre se trouvait l’argent que sa mère voulait lui léguer une fois morte. Ne voulant pas de cet argent au prix de la mort de sa mère, un jour, Marco entreprît d’aller ouvrir le grand coffre de la penderie du premier étage. S’assurant que sa mère dormait bien, il se faufila le long du couloir pour aller jusqu’à la penderie, l’ouvrit, et se retrouva devant le grand coffre. Un frisson de peur parcourut Marco tandis qu’il se remémorait la colère de sa mère à la vue de Marco dans cette pièce. Mais il ne pouvait pas reculer, il ouvrit le grand coffre s’attendant à voir briller les berrys, mais, à la place, il découvrit un coffret dégradé par le temps mais toujours en état. C’était ici que se trouvait les économies de la famille pour ce garçon, que pouvait-il y avoir d’autre à l’intérieur sinon?
Une fois la surprise passée, il se souvînt alors de la clé que sa mère avait prise après sa colère. Marchant a pas de loup jusqu’à la chambre de sa mère, Marco alla jusqu’à la commode, l’ouvrit, chercha silencieusement la clé en fouillant à tâtons dans le linge de sa mère, les yeux toujours fixés sur cette dernière de peur de la réveiller. Après une éternité pour Marco, il trouva ce qu’il cherchait. Fou de joie il laissa échapper un petit cri de victoire, puis se rappelant l’endroit où il était, regarda sa mère, qui dormait toujours profondément.
Il retourna alors à la penderie et ouvrit le grand coffre pour se saisir du coffret, mais lorsqu’il tenta de l’ouvrir grâce à sa clé, il remarqua qu’elle flottait dans la serrure. Il prit alors le coffret dans sa chambre et emporta la clé avec lui.
Le lendemain, il alla chez le forgeron du village pour lui demander ce qui clochait avec ce coffret et cette clé en s’attendant pertinemment à entendre le forgeron lui dire que ce n’était pas la bonne clé. Mais il n’avait que celle-là, il fallait que ce soit la bonne. Une fois arrivé chez le forgeron, il lui présenta la clé et le coffret pour qu’il les inspecte. Après plusieurs minutes le forgeron lui dit tout simplement que la clé n’était pas complète mais que c’était bien une partie pour ouvrir ce coffret. Marco demanda alors au forgeron s’il pouvait lui reforger la clé en entière, que c’était capital. Le forgeron lui dit qu’il ne lui faudrait que deux jours pour en faire une convenable.
Ces deux jours furent les plus longs de la vie de Marco, mais lorsqu’il arriva chez le forgeron au troisième jour, celui-ci lui dit que la clé était prête et qu’il ne lui facturerait pas la main-d’œuvre. Au comble du bonheur, Marco courut alors chez lui pour ouvrir le coffret. Ce qu’il découvrit pourtant le déçut terriblement dans un premier temps, il ne s’agissait que d’un vulgaire fruit. Il l’examina sous toutes ses coutures pour voir s’il ne renfermait pas lui-même quelque chose mais il s’aperçut bien vite que ce n’était pas le cas. Refermant le coffret dans un geste de rage, une image lui revint à l’esprit, il avait déjà vu quelque chose de semblable dans un des livres qu’il avait lu chez le couple de médecin.
Il rechercha rapidement ce livre parmi ceux qu’il avait entreposé dans sa chambre et prit alors un ouvrage qui concernait les fruits exotiques. Il le feuilleta rapidement jusqu’à tomber sur celui qu’il cherchait : c’était un fruit du démon. Un de ces fruits légendaires qui donnait des pouvoirs surhumains à ceux qui les mangeait mais qui les empêchait cependant de nager. Il ne voulait pas le manger de peur de ces effets sur son corps, il attendit donc sagement au chevet de sa mère pour lui demander ce que cela signifiait, mais la maladie qui la frappait étant de plus en plus forte chaque jour, elle dormait la plupart du temps. Il s’endormit à son chevet.


PASSAGE A L’AGE ADULTE PAR LE SANG :


Et c’est par une nuit de pluie que l’adolescence pris fin pour Marco. Le soir de la découverte du fruit, il entendit la porte d’entrée se fracasser, d’instinct il se redressa et se mit entre sa mère et la porte de sa chambre pour la protéger. Sa mère s’était réveillée en entendant le bruit. Il tenta de la rassurer. Quelqu’un montait les marches et traversait le couloir pour rejoindre la chambre. Soudain un homme surgit sur le palier, il empestait l’alcool et ses vêtements étaient si miteux qu’on aurait dit un mendiant.
L’homme s’approcha de la femme sur son lit, projeta Marco sur le sol et secoua Rosa en lui demandant où elle l’avait mis, où elle avait mit ce foutu fruit. Marco ne comprenait rien mais la terreur se lisait dans les yeux de sa mère. Il voulût faire lâcher prise au mendiant qui s’en prenait à sa mère, mais il le repoussa encore plus brutalement. Rosa cria à l’homme que c’était son fils. Soudain, le monde de Marco s’écroula, il n’entendait rien autour de lui, sa vue était trouble, il ne comprenait pas, ce ne pouvait pas être l‘homme dont sa mère ne disait que du bien depuis tant d‘années. Pendant ce temps, l’homme malmenait de plus en plus celle qu’il avait alors violé dix-huit ans plus tôt.
Alors que Marco tournait la tête vers son père, il vit celui-ci enfoncer son sabre dans la poitrine de sa mère. La rage gagna Marco qui se précipita sur son géniteur, le marine se retourna et asséna également un coup de sabre au niveau du ventre à Marco. Ce dernier s’effondra dans son sang.
Il vît la silhouette de son père se dirigeait vers la penderie qui était au bout du couloir. Comprenant ce que son père voulait, Marco rampa sur le sol en se jurant d’empêcher son père d’avoir le fruit du démon qu’il convoitait. Il entendait le marine jurait et casser ce qui lui tombait sous la main pour trouver le coffret dans la penderie.
Marco arrive à sa chambre, sortit la clé qui permettait d’ouvrir le coffret, l’ouvrit et se redressa tant bien que mal sur ses deux jambes. Il héla son père de l’autre côté du couloir en lui montrant le fruit qu’il tenait dans ses mains. Alors que son père se retournait et voyait le fruit, Marco l’avala pour ne pas lui laisser la moindre chance de l’avoir. Marco se tordit alors de douleur sous l’effet du fruit du démon, le marine courût jusqu’à lui et lui asséna un grand nombre de coups pour être sûr de l’avoir tué et récupérer ainsi le fruit.
Alors qu’il continuait de donner ses coups, des flammes jaillir du corps de Marco en régénérant ses blessures sous les yeux ébahi du père. Sous l’effet de la rage, il ne se souciait même pas du fait qu’il ait pût guérir miraculeusement, des ailes de flammes d’un bleu éclatant sortirent de son dos et projetèrent son père à travers le couloir.
Le combat qui s’ensuivit finit par la mort du capitaine des marines corrompus et la mort de son équipage.
En effet, le capitaine avait ramené son équipage qui s’en donnait à cœur joie dans le village. Marco les tua un à un, mais il était trop tard pour la plupart des villageois qui avaient déjà péri sous les coups de sabre ou sous les balles.

Le bilan de ce massacre s’élève à 127 morts, dont 77 villageois, et 26 survivants, tous villageois.


PÈRE :


La nouvelle de ce massacre parvint aux oreilles de tous et même des plus grands que la mer puissent compter. C’est alors que deux semaines plus tard arriva un bateau dont la proue représentait l’avant d’une baleine. Les villageois, après avoir pleurés leurs morts, étaient en pleine reconstruction. La vue d’un nouveau navire accostant leur plage les remplirent d’effroi. Marco avait brûlé sa mère en même temps que sa maison pour représenter aussi bien le bûcher funéraire pour sa mère que le symbole de son engagement à aller de l’avant. Il regardait la mer et aidait parfois les villageois pour les travaux mais la bonne humeur n’était plus de mise. C’est ainsi qu’il remarqua instantanément le bateau qui venait d’accoster sur la plage et qu’il se précipita vers la plage pour accueillir ces nouveaux marine comme il se devait.
Un seul homme descendit du bateau, il faisait deux à trois fois la taille de Marco tant en hauteur qu’en largeur. Il portait un chapeau avec un logo représentant un crâne souriant sur deux os disposés en croix qui avait une moustache identique à la personne qui le portait, il était torse nu, portait un grand manteau blanc qu’il portait sur les épaules et un pantalon de velours blanc également. Le colosse échangea quelques paroles avec Marco. Puis, suite à cette interrogatoire que le colosse venait de lui faire passer et qui était un peu trop poussé au goût de Marco, il l’enjoignît à rejoindre son navire en tant que son fils en lui soumettant le fait que sa présence sur cette île représentait un danger pour ses habitants et que plusieurs personnes chercherait à l’embarquer de force sur leur navire. À la mention du mot fils Marco fonça droit sur le géant, ailes déployés et tomba dans les pommes.
Reprenant ses esprits, il se rendît compte que le sol tanguait sous son corps, il se releva et constata qu’il était au milieu de la mer, il voyait son île au loin. Il se retourna pour faire face au colosse de la plage, toute une troupe de personne était rameutés autour de lui et Marco entendit clairement une de ces personnes l’appelait « père ». Marco resta ébahi.

Devant cet air ahuris le géant partit d’un grand rire et lui dit alors : « Gurarara, mon nom est Edward Newgate gamin, mais le monde me connaît sous le nom de Barbe Blanche. Ceux que tu vois autour de toi sont mes fils, le monde déteste ce que nous sommes, nous n’avons plus de familles à proprement parler, c’est pourquoi mon équipage EST ma famille!!! »
Il lui tendit alors une main que Marco agrippa et serra tout en pleurant.

Il avait enfin un père.

Deux traces de son passé restent présente sur Marco : la première de ces traces se traduit par une affection pour un Barbe Blanche malade qui lui rappelle son enfance et sa mère malade, la deuxième est la marque de ses maladies répétitives l’obligeant a dormir une grande partie de la journée cela se lit sur son visage sous la forme de ses poches.

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